Le 1er mars 2025, une découverte archéologique stupéfiante en Égypte a secoué la communauté scientifique mondiale, laissant les experts à la fois fascinés et perplexes. Des corps mystérieux, découverts dans une nécropole près de Louxor, ont été mis au jour par une équipe franco-égyptienne dirigée par l’égyptologue Zahi Hawass, en collaboration avec l’Institut français d’archéologie orientale (IFAO) et l’Université de Strasbourg. Ces restes humains, datant de plus de 3 500 ans et appartenant au Moyen Empire (fin XXIe-fin XVIIIe siècle avant J.-C.), ont été trouvés dans un sarcophage réinhumé sous une chaussée processionnelle menant au temple de Thoutmôsis III. Mais ce qui a véritablement choqué les scientifiques, ce sont les caractéristiques inhabituelles de ces corps, qui défient les connaissances actuelles sur les pratiques funéraires égyptiennes et soulèvent des questions troublantes sur leur origine et leur signification.

Les fouilles, qui se sont déroulées entre décembre 2024 et janvier 2025, ont permis de mettre au jour un sixième sarcophage sur un site déjà célèbre pour les découvertes de 2018 et 2019, où cinq autres sarcophages du Nouvel Empire avaient été réinhumés. Ce nouveau sarcophage, scellé et exceptionnellement bien conservé, a été retrouvé à huit mètres de profondeur, protégé dans un coffre en bois sur mesure. Bien que les chercheurs n’aient pu l’ouvrir faute de temps – son contenu sera étudié en détail lors d’une nouvelle mission en octobre 2025 –, une inspection préliminaire à travers un petit orifice a révélé la présence d’un corps enveloppé dans du lin, semblant indiquer une momification classique. Cependant, des anomalies frappantes ont immédiatement attiré l’attention : les restes présentaient des proportions corporelles inhabituelles, avec des membres allongés et des crânes légèrement déformés, caractéristiques qui ne correspondent pas aux standards anthropométriques des anciens Égyptiens de cette époque.
Les premières analyses, menées par des archéoanthropologues, ont révélé que les corps pourraient appartenir à une population méconnue, peut-être liée à des rituels spécifiques ou à une migration ancienne. Certains experts, comme Frédéric Colin, directeur de l’Institut d’égyptologie de Strasbourg, ont émis l’hypothèse que ces corps pourraient avoir été déplacés intentionnellement pour les protéger de pillages ou pour les intégrer à un rituel funéraire inconnu, une pratique suggérée par les réinhumations multiples observées sur le site. « Ces corps ne sont pas seulement une énigme archéologique, ils pourraient redéfinir notre compréhension de la société égyptienne antique », a déclaré Colin lors d’une conférence de presse à Paris, ajoutant que les crânes déformés pourraient indiquer des pratiques culturelles spécifiques, comme la déformation intentionnelle, ou une génétique différente.

La réaction des scientifiques a été immédiate et intense. Des experts du monde entier, notamment de l’Université de Cambridge et du Musée égyptien du Caire, se sont précipités pour analyser les premières images et données, mais aussi pour exprimer leur incrédulité. « Les proportions de ces corps sont troublantes. Elles ne correspondent à aucune population connue de l’Égypte ancienne, et les crânes déformés pourraient suggérer une intervention humaine ou une origine totalement étrangère », a déclaré la professeure Emma Thompson, spécialiste de l’anthropologie égyptienne à Cambridge, dans une interview à Le Monde. Certains chercheurs ont même évoqué l’hypothèse d’une possible influence extraterrestre, bien que cette idée ait été rapidement écartée par Hawass comme « spéculative et non scientifique ».
Sur les réseaux sociaux, la découverte a suscité une frénésie, avec des hashtags comme #CorpsMystérieuxÉgypte et #ArchéologieChoc dominant X et Instagram. Des théories farfelues ont émergé, allant de la présence d’une civilisation perdue à des expériences alchimiques des prêtres égyptiens, mais les experts insistent sur la nécessité d’une analyse rigoureuse avant de tirer des conclusions. Les premières modélisations 3D, réalisées par l’équipe de Strasbourg, montrent que les corps ont été soigneusement enveloppés dans du lin, avec des traces de pigments colorés et des amulettes, ce qui suggère un traitement respectueux, mais les raisons de leur réinhumation sous une chaussée processionnelle restent un mystère.
Pour l’Égypte, cette découverte arrive à un moment crucial, alors que le pays cherche à relancer le tourisme après des années de défis économiques et politiques. Les autorités, conscientes de l’impact potentiel, ont déjà annoncé une exposition spéciale au Grand musée égyptien de Gizeh, prévue pour 2026, où les corps mystérieux seront présentés après une analyse approfondie. Zahi Hawass a qualifié cette trouvaille de « l’une des découvertes les plus significatives du XXIe siècle », soulignant qu’elle pourrait révéler des secrets enfouis sur les pratiques funéraires et les migrations dans l’Égypte antique.
Alors que la prochaine phase des fouilles en octobre 2025 approvisionne, les scientifiques du monde entier attendent avec impatience des réponses. Ces corps mystérieux, qui ont choqué par leurs anomalies, pourraient bien redéfinir notre compréhension de l’histoire égyptienne – ou plonger l’humanité dans un mystère encore plus profond. Une chose est certaine : cette découverte a marqué un tournant dans l’archéologie, laissant les experts à la fois émerveillés et troublés par ce qu’elle pourrait révéler.